Tomber amoureux des films peut être facile quand on est enfant. C'est une période magique où l'imagination est en plein développement et où l'on ne sait pas encore tout de la vie. On s’émerveille de tout et on oublie facilement la réalité. Mais en vieillissant, on peine souvent à retrouver cet émerveillement en regardant des films. Et pourtant, contre toute attente, je suis parvenue à me prouver à moi-même que c’était possible. Avec quelques efforts de préparation, et sans être dérangée, je me suis à nouveau plongée dans des mondes virtuels en oubliant complètement la réalité le temps de quelques heures. Et bon sang, ça fait du bien.
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Me remettre au piano… tout un programme !
J'avais 5 ans lorsque j'ai commencé les cours de piano, et je les ai suivis pendant environ 8 ans. Bien que je n’aie jamais vraiment eu l’impression d’être naturellement douée pour la chose, je pense quand même avoir atteint un petit niveau à l’époque. Je me souviens de ma mère, qui insistait pour que je continue à jouer, persuadée que la musique était un ingrédient essentiel pour préserver un équilibre dans la vie de tous les jours. Je me souviens avoir arrêté à l’époque car j’étais en profond désaccord avec elle sur le sujet. Allez expliquer à une enfant de 13 ans qu’elle ne peut pas aller jouer avec ses copines car elle doit encore apprendre une leçon de piano après l’école… forcément, il peut y avoir un blocage psychologique !